Book-Emissaire
Une vie sans livres ne serait pas vivable...
Mercredi 12 octobre 2011 à 17:03
Genre : Société
Résumé : Dans une banlieue de Melbourne, de nos jours. Par une belle fin de journée d'été, famille et amis ont organisé un barbecue : de la nourriture grecque et indienne, du vin et de la bière en quantité, de la musique et des gens de tous les âges. Alors que les enfants entament une partie de cricket, une dispute éclate qui dégénère en bagarre. C'est alors qu'Harry, un adulte, gifle un enfant de quatre ans, Hugo. Cet incident va avoir des répercussions sur un certain nombre de personnes et sur huit en particulier : Hector et Aisha, les organisateurs du barbecue ; Harry, le cousin d'Hector, l'auteur de la gifle ; Rosie, la mère d'Hugo ; Anouk, une quadragénaire qui refuse d'être mère ; Manolis, un vieil immigré grec ; Connie et Richie, deux adolescents.
Mon avis : Ce roman m'a été envoyé gracieusement par France Loisirs pour en faire la critique dans le cadre de l'opération Top Lecteurs.
J'ai adoré le résumé et l'idée de départ principale - l'histoire de la gifle - mais ça s'arrête là. J'ai fermé ce roman énervée au possible avec l'envie d'écrire à l'auteur pour tenter de comprendre pourquoi il avait fait certains choix.
Les personnages sont tous plus énervants les uns que les autres, et surtout, pas du tout crédibles ! C'est quoi cet endroit où, dans une bande d'une vingtaine de connaissances, il y a au moins 4 nationalités différentes, où des couples d'une quarantaine d'années avec enfants se droguent ouvertement aux drogues dures ? L'idée de la gifle était tellement intéressante, tellement originale. Pourquoi rendre le tout absolument improbable et ridicule en mettant cette idée dans un contexte qui ne rentre pas dans la normalité ?
Le problème social de la gifle et des châtiments corporels sur enfants est un sujet d'actualité, un sujet intéressant et qui méritait d'être approfondi pour qu'on se sente concerné, et pour qu'on puisse confronter notre opinion à celles des personnages. Mais personne de "normal" ne peut se sentir concerné ou ne peut se reconnaître dans ce roman, c'est impossible. Et puis surtout, voir ce que pensent des cas soc' du fait de mettre une baffe à un gosse, franchement, on s'en fout, parce que justement, ce sont des cas soc' et qu'ils n'agissent pas comme des gens normaux et bien élevés capables d'opinions. Du coup, l'auteur et son roman perdent toute crédibilité, et c'est bien dommage.
Pour finir, je vais en rajouter une couche en parlant des scènes inutiles : autrement dit, du quart du roman ! Ce bouquin est long, très long, et ennuyeux au possible. On a l'impression qu'on en verra jamais le bout, alors qu'il est truffé de scènes qui ne servent absolument à rien (scènes de sexe très crues par exemple, histoire de dire qu'il y a du sexe dans le livre et c'est tout).
Les relations entre les personnages sont également mal décrites et orchestrées : la plupart de ceux cités dans le résumé ne sont concernés que de loin dans l'histoire de la gifle et ne doivent leurs problèmes pathétiques qu'à leur bêtise et à leur fainéantise.
Résumé : Dans une banlieue de Melbourne, de nos jours. Par une belle fin de journée d'été, famille et amis ont organisé un barbecue : de la nourriture grecque et indienne, du vin et de la bière en quantité, de la musique et des gens de tous les âges. Alors que les enfants entament une partie de cricket, une dispute éclate qui dégénère en bagarre. C'est alors qu'Harry, un adulte, gifle un enfant de quatre ans, Hugo. Cet incident va avoir des répercussions sur un certain nombre de personnes et sur huit en particulier : Hector et Aisha, les organisateurs du barbecue ; Harry, le cousin d'Hector, l'auteur de la gifle ; Rosie, la mère d'Hugo ; Anouk, une quadragénaire qui refuse d'être mère ; Manolis, un vieil immigré grec ; Connie et Richie, deux adolescents.
Mon avis : Ce roman m'a été envoyé gracieusement par France Loisirs pour en faire la critique dans le cadre de l'opération Top Lecteurs.
J'ai adoré le résumé et l'idée de départ principale - l'histoire de la gifle - mais ça s'arrête là. J'ai fermé ce roman énervée au possible avec l'envie d'écrire à l'auteur pour tenter de comprendre pourquoi il avait fait certains choix.
Les personnages sont tous plus énervants les uns que les autres, et surtout, pas du tout crédibles ! C'est quoi cet endroit où, dans une bande d'une vingtaine de connaissances, il y a au moins 4 nationalités différentes, où des couples d'une quarantaine d'années avec enfants se droguent ouvertement aux drogues dures ? L'idée de la gifle était tellement intéressante, tellement originale. Pourquoi rendre le tout absolument improbable et ridicule en mettant cette idée dans un contexte qui ne rentre pas dans la normalité ?
Le problème social de la gifle et des châtiments corporels sur enfants est un sujet d'actualité, un sujet intéressant et qui méritait d'être approfondi pour qu'on se sente concerné, et pour qu'on puisse confronter notre opinion à celles des personnages. Mais personne de "normal" ne peut se sentir concerné ou ne peut se reconnaître dans ce roman, c'est impossible. Et puis surtout, voir ce que pensent des cas soc' du fait de mettre une baffe à un gosse, franchement, on s'en fout, parce que justement, ce sont des cas soc' et qu'ils n'agissent pas comme des gens normaux et bien élevés capables d'opinions. Du coup, l'auteur et son roman perdent toute crédibilité, et c'est bien dommage.
Pour finir, je vais en rajouter une couche en parlant des scènes inutiles : autrement dit, du quart du roman ! Ce bouquin est long, très long, et ennuyeux au possible. On a l'impression qu'on en verra jamais le bout, alors qu'il est truffé de scènes qui ne servent absolument à rien (scènes de sexe très crues par exemple, histoire de dire qu'il y a du sexe dans le livre et c'est tout).
Les relations entre les personnages sont également mal décrites et orchestrées : la plupart de ceux cités dans le résumé ne sont concernés que de loin dans l'histoire de la gifle et ne doivent leurs problèmes pathétiques qu'à leur bêtise et à leur fainéantise.
Samedi 8 octobre 2011 à 16:01
Genre : Roman contemporain
Résumé : Dès que je passe la porte de notre appartement, je me transforme. Sans plus aucune coquetterie, je retire mes escarpins, je jette mes vêtements dans la panière à linge sale. Je m’attache les cheveux sur le sommet du crâne, remonte mes manches, et c’est parti pour le rodéo de l’ordre et de la propreté. Une chorégraphie d’un genre peu sexy, à laquelle je ne renonce que tombante de sommeil.
Pauvre Adrien : il vit avec une mégère. L’image n’est pas folichonne.
C’est au bureau qu’ils vivent avec moi. Bien habillée, maquillée, coiffée.
Pourquoi je me transforme?
Pourquoi je n’arrive pas à suivre le mode de vie d’Adrien ?
Pourquoi ça ne tourne pas plus… plus… plus carré ?
Mon avis : Ce roman (autobiographique ?) est une perle. Sybille, c’est moi, c’est vous, c’est toutes les femmes de notre époque qui travaillent aussi dur que les hommes, et qui veulent tout gérer : carrière, maison, mari, enfants, amis et aspect physique. Elle veut être parfaite, réussir tout ce qu’elle entreprend. Et pour cette raison, les femmes aimeront forcément ce roman, se reconnaîtront, et se diront : « Mais pourquoi je suis comme ça ? ».
Résumé : Dès que je passe la porte de notre appartement, je me transforme. Sans plus aucune coquetterie, je retire mes escarpins, je jette mes vêtements dans la panière à linge sale. Je m’attache les cheveux sur le sommet du crâne, remonte mes manches, et c’est parti pour le rodéo de l’ordre et de la propreté. Une chorégraphie d’un genre peu sexy, à laquelle je ne renonce que tombante de sommeil.
Pauvre Adrien : il vit avec une mégère. L’image n’est pas folichonne.
C’est au bureau qu’ils vivent avec moi. Bien habillée, maquillée, coiffée.
Pourquoi je me transforme?
Pourquoi je n’arrive pas à suivre le mode de vie d’Adrien ?
Pourquoi ça ne tourne pas plus… plus… plus carré ?
Mon avis : Ce roman (autobiographique ?) est une perle. Sybille, c’est moi, c’est vous, c’est toutes les femmes de notre époque qui travaillent aussi dur que les hommes, et qui veulent tout gérer : carrière, maison, mari, enfants, amis et aspect physique. Elle veut être parfaite, réussir tout ce qu’elle entreprend. Et pour cette raison, les femmes aimeront forcément ce roman, se reconnaîtront, et se diront : « Mais pourquoi je suis comme ça ? ».
Le style de Sylvie Testud est fort, concis, parlé. Il est d’autant plus accessible qu’on a l’impression de discuter avec une copine. C’est rythmé, parfois stressant, voire énervant de la regarder s’escrimer pour des choses qui n’en valent pas la peine. C’est drôle, léger et très agréable à lire. Le dénouement est une victoire et un échec en même temps, il a des airs de mauvais présage pour notre génération.
Jeudi 15 septembre 2011 à 16:28
Genre : "True Crime Story", roman policier réel.
Résumé : Sur ses photos de mariage, la frêle Pat pose au côté de Tom telle une ravissante Scarlett. Elle rêve de plantations, de jardins de roses et de réceptions chics dans les résidences huppées d'Atlanta. Deux mois plus tard, tous ses espoirs sont réduits à néant : son bel époux est accusé d'avoir sauvagement assassiné ses propres parents. Ce roman d'Ann Rule est un véritable tour de force : un tourbillon d'amour insatisfait, de passions et de désirs incontrôlables, une série de crimes brillamment orchestrés, et au centre de cette spirale mortelle, une jeune femme habituée à ce qu'on lui passe tous ses caprices.
Mon avis : Attention, gros coup de foudre pour ce roman !!
Je suis émerveillée, emportée, encore bouche bée devant le style de cette Ann Rule que je ne connaissais pas ! Laissez-moi d'abord vous donner deux trois renseignements sur elle : Ann Rule a 76 ans. Elle a été inspecteur de police et s'est spécialisée dans l'étude des serial-killers. C'est elle qui a fait créer l'unité d'étude des tueurs en série au sein du FBI. Elle a été une amie proche de Ted Bundy avant qu'il soit démasqué, c'est dire si elle connaît les tueurs de près ! Après cette histoire, elle a décidé d'écrire un livre sur lui. Et devant le succès de ce "roman réel", elle a recommencé des dizaines de fois, devenant la reine de ce nouveau genre : le fait réel transformé en roman !
Quand je dis "roman", n'allez pas imaginer qu'elle invente plein de choses autour du fait réel ! Pas du tout ! Elle ne dit que la vérité, rien que la vérité, mais elle va tellement loin dans l'étude des "personnages" et dans l'analyse des faits et de l'enquête, que vous vous retrouvez très vite avec un énorme pavé dans les mains.
Passons à "Une petite fille trop gâtée". Quand je l'ai attaqué, au bout de trois chapitres, j'avais une sensation bizarre, comme si je lisais un article de journal : pas d'émotions, pas de pathos, pas de sentiments ; des faits rapportés et rien que ça. Et puis au fur et à mesure de ma lecture, je suis rentrée dans le jeu de l'auteur : j'analysais les personnages, je suspectais tout le monde, je voulais témoigner et aider les policiers !
Pat est abominable. Même si elle n'a pas de sang sur les mains, elle m'est apparue bien pire que bien des tueurs sanguinaires. C'est horrible, à peine croyable. Comment une personne comme ça peut réellement exister ? Vous allez assister à l'art de la manipulation à son plus haut degré, à l'égoïsme poussé à son paroxysme. On n'en voit pas la fin, et puis paradoxalement, on a peur d'arriver à la fin du livre sans avoir vu Pat payer pour tout ce qu'elle a fait à son entourage.
Lisez ce roman, c'est tout ce que je peux vous dire ! Et comme je ne fais jamais les choses à moitié, j'ai commandé quasiment toute la collection des romans de cette auteure, que je vous ferai bien sûr découvrir ici !
Résumé : Sur ses photos de mariage, la frêle Pat pose au côté de Tom telle une ravissante Scarlett. Elle rêve de plantations, de jardins de roses et de réceptions chics dans les résidences huppées d'Atlanta. Deux mois plus tard, tous ses espoirs sont réduits à néant : son bel époux est accusé d'avoir sauvagement assassiné ses propres parents. Ce roman d'Ann Rule est un véritable tour de force : un tourbillon d'amour insatisfait, de passions et de désirs incontrôlables, une série de crimes brillamment orchestrés, et au centre de cette spirale mortelle, une jeune femme habituée à ce qu'on lui passe tous ses caprices.
Mon avis : Attention, gros coup de foudre pour ce roman !!
Je suis émerveillée, emportée, encore bouche bée devant le style de cette Ann Rule que je ne connaissais pas ! Laissez-moi d'abord vous donner deux trois renseignements sur elle : Ann Rule a 76 ans. Elle a été inspecteur de police et s'est spécialisée dans l'étude des serial-killers. C'est elle qui a fait créer l'unité d'étude des tueurs en série au sein du FBI. Elle a été une amie proche de Ted Bundy avant qu'il soit démasqué, c'est dire si elle connaît les tueurs de près ! Après cette histoire, elle a décidé d'écrire un livre sur lui. Et devant le succès de ce "roman réel", elle a recommencé des dizaines de fois, devenant la reine de ce nouveau genre : le fait réel transformé en roman !
Quand je dis "roman", n'allez pas imaginer qu'elle invente plein de choses autour du fait réel ! Pas du tout ! Elle ne dit que la vérité, rien que la vérité, mais elle va tellement loin dans l'étude des "personnages" et dans l'analyse des faits et de l'enquête, que vous vous retrouvez très vite avec un énorme pavé dans les mains.
Passons à "Une petite fille trop gâtée". Quand je l'ai attaqué, au bout de trois chapitres, j'avais une sensation bizarre, comme si je lisais un article de journal : pas d'émotions, pas de pathos, pas de sentiments ; des faits rapportés et rien que ça. Et puis au fur et à mesure de ma lecture, je suis rentrée dans le jeu de l'auteur : j'analysais les personnages, je suspectais tout le monde, je voulais témoigner et aider les policiers !
Pat est abominable. Même si elle n'a pas de sang sur les mains, elle m'est apparue bien pire que bien des tueurs sanguinaires. C'est horrible, à peine croyable. Comment une personne comme ça peut réellement exister ? Vous allez assister à l'art de la manipulation à son plus haut degré, à l'égoïsme poussé à son paroxysme. On n'en voit pas la fin, et puis paradoxalement, on a peur d'arriver à la fin du livre sans avoir vu Pat payer pour tout ce qu'elle a fait à son entourage.
Lisez ce roman, c'est tout ce que je peux vous dire ! Et comme je ne fais jamais les choses à moitié, j'ai commandé quasiment toute la collection des romans de cette auteure, que je vous ferai bien sûr découvrir ici !
Jeudi 15 septembre 2011 à 16:09
Genre : Saga jeunesse - Amour & fantastique (Tome 2)
Résumé : Lena Duchannes est poursuivie par une malédiction familiale qui fait d’elle un être surnaturel doté de pouvoirs puissants. Mais, même si elle a réussi à éviter le choix entre Bien et Mal durant la terrible nuit de ses seize ans, Lena est de nouveau confrontée aux forces magiques à l’approche de ses dix-sept ans. Effrayée, elle s’éloigne malgré elle d’Ethan Wate, son petit-ami. Pour la protéger, Ethan va devoir explorer le monde de secrets anciens que cache Gatlin.
Mon avis : Je suis vraiment super fan de cette saga ! Savant mélange de Twilight, Harry Potter et du film The Craft, la Saga des Lunes est vraiment passionnante ! Ce deuxième tome n'est pas moins bien que le premier ; on en apprend un peu plus sur la mère d'Ethan et sur Marian, ainsi que sur certaines personnes de la famille de Lena. On découvre Amma incroyablement douée et protectrice.
J'ai adoré le nouveau personnage de Liv, et du coup, je n'ai même pas été déçue d'assister à la séparation de nos deux héros. L'aventure dans les tunnels est magique, inattendue et fantasmagorique !
Le style est accessible, agréable, recherché, et l'histoire des Enchanteurs est beaucoup mieux approfondie et expliquée que ce qu'on a l'habitude de trouver dans des romans jeunesse.
Le tome 3, 18 Lunes, sort en octobre de cette année. Bien évidemment, il est déjà pré-commandé, et je m'empresserai de venir vous donner des nouvelles de Lena et Ethan dès que je l'aurai lu !
Résumé : Lena Duchannes est poursuivie par une malédiction familiale qui fait d’elle un être surnaturel doté de pouvoirs puissants. Mais, même si elle a réussi à éviter le choix entre Bien et Mal durant la terrible nuit de ses seize ans, Lena est de nouveau confrontée aux forces magiques à l’approche de ses dix-sept ans. Effrayée, elle s’éloigne malgré elle d’Ethan Wate, son petit-ami. Pour la protéger, Ethan va devoir explorer le monde de secrets anciens que cache Gatlin.
Mon avis : Je suis vraiment super fan de cette saga ! Savant mélange de Twilight, Harry Potter et du film The Craft, la Saga des Lunes est vraiment passionnante ! Ce deuxième tome n'est pas moins bien que le premier ; on en apprend un peu plus sur la mère d'Ethan et sur Marian, ainsi que sur certaines personnes de la famille de Lena. On découvre Amma incroyablement douée et protectrice.
J'ai adoré le nouveau personnage de Liv, et du coup, je n'ai même pas été déçue d'assister à la séparation de nos deux héros. L'aventure dans les tunnels est magique, inattendue et fantasmagorique !
Le style est accessible, agréable, recherché, et l'histoire des Enchanteurs est beaucoup mieux approfondie et expliquée que ce qu'on a l'habitude de trouver dans des romans jeunesse.
Le tome 3, 18 Lunes, sort en octobre de cette année. Bien évidemment, il est déjà pré-commandé, et je m'empresserai de venir vous donner des nouvelles de Lena et Ethan dès que je l'aurai lu !
Jeudi 15 septembre 2011 à 15:56
Genre : Roman.
Résumé : "Allez savoir ce qui se passe dans la tête d'un joueur."
Mon avis : J'ai apprécié ce tout nouveau roman d'Amélie Nothomb : une histoire originale, pas d'autobiographie, des personnages intéressants, un peu dérangés, des scènes émouvantes et d'autres angoissantes...
J'ai beaucoup aimé les trois protagonistes, et tout ce qui se passait dans la tête de Joe, même s'il était complètement cinglé la plupart du temps ! Passons sur la très faible probabilité que des gens prennent en charge un ado du jour en lendemain sans le connaître...
J'ai détesté le passage où Norman et Christina emmènent enfin Joe au Burning Man : trop de drogues, de déchéance humaine et de scènes improbables !
Un bémol tout de même, et pas des moindres : j'ai lu ce livre il y a moins d'un mois, et je suis incapable de me souvenir du dénouement final ! Et pourtant, presque toutes les critiques parlent de cette fin incroyable, inattendue... Est-ce que je perds la boule ? Ou est-ce que les fins d'Amélie sont moins surprenantes qu'avant ? Est-ce que j'ai vraiment aimé ce roman finalement ?
Résumé : "Allez savoir ce qui se passe dans la tête d'un joueur."
Mon avis : J'ai apprécié ce tout nouveau roman d'Amélie Nothomb : une histoire originale, pas d'autobiographie, des personnages intéressants, un peu dérangés, des scènes émouvantes et d'autres angoissantes...
J'ai beaucoup aimé les trois protagonistes, et tout ce qui se passait dans la tête de Joe, même s'il était complètement cinglé la plupart du temps ! Passons sur la très faible probabilité que des gens prennent en charge un ado du jour en lendemain sans le connaître...
J'ai détesté le passage où Norman et Christina emmènent enfin Joe au Burning Man : trop de drogues, de déchéance humaine et de scènes improbables !
Un bémol tout de même, et pas des moindres : j'ai lu ce livre il y a moins d'un mois, et je suis incapable de me souvenir du dénouement final ! Et pourtant, presque toutes les critiques parlent de cette fin incroyable, inattendue... Est-ce que je perds la boule ? Ou est-ce que les fins d'Amélie sont moins surprenantes qu'avant ? Est-ce que j'ai vraiment aimé ce roman finalement ?