Genre : Pièce de théâtre.
Résumé : La ville est assiégée. Dans l'appartement du Professeur, où se sont réfugiés son assistant Daniel et la fiancée de celui-ci, Marina l'étudiante, un seul combustible permet de lutter contre le froid : les livres... Tout le monde a répondu une fois dans sa vie à la question : quel livre emporteriez-vous sur une île déserte ?
Mon avis : Troisième livre d'Amélie Nothomb. Encore une fois, si ce n'était pas elle, je n'aurais pas lu ce livre, parce que je n'aime pas le théâtre, tout simplement. Tout littéraire qui se respecte ne pourra résister au résumé ci-dessus, et il aura raison : tous les dialogues de ce huis-clos ne parlent que de livres, de littérature, de critiques littéraires... La question principale est : si l'on n'avait plus que nos livres pour se chauffer, lequel brûleriez-vous en premier ? Deuxième question qui découle de la première : quel livre ne feriez-vous flamber sous aucun prétexte ? Comme dans les précédents ouvrages de Miss Nothomb, le style est délicieux, incisif, cynique, et les personnages passionnants. Seul reproche : cette pièce est beaucoup trop courte ; je l'ai lue en même pas une heure. J'en redemande...
Book-Emissaire
Une vie sans livres ne serait pas vivable...
Jeudi 3 juin 2010 à 15:36
Jeudi 3 juin 2010 à 15:15
Genre : Roman autobiographique
Résumé : Saviez-vous qu'un pays communiste, c'est un pays où il y a des ventilateurs ? Que de 1972 à 1975, une guerre mondiale a fait rage dans la cité-ghetto de San Li Tun, à Pékin ? Qu'un vélo est en réalité un cheval ? Que passé la puberté, tout le reste n'est qu'un épilogue ? Vous l'apprendrez et bien d'autres choses encore dans ce roman inclassable, épique et drôle, fantastique et tragique, qui nous conte aussi une histoire d'amour authentique, absolu, celui qui peut naître dans un coeur de sept ans. Un sabotage amoureux : sabotage, comme sous les sabots d'un cheval qui est un vélo...
Mon avis : J'ai décidé que j'allais lire TOUS les romans de la géniale et unique Amélie Nothomb dans l'ordre de leur parution. Le premier était "Hygiène de l'Assassin", que j'ai déjà lu et dont j'ai déjà fait la critique ici. Le deuxième était celui-ci, "Le Sabotage Amoureux". Si je ne m'étais pas lancé ce défi, je n'aurais sûrement pas lu ce roman. En effet, Amélie y raconte une partie de son enfance dans la Chine communiste. Et soyons clairs : je n'aime ni les enfants, ni la Chine, ni le communisme. C'était donc très mal parti. Mais Amélie est magique ; tout prend un sens sous sa plume. Son style est un pur bonheur : je prendrais plaisir à lire les résumés de "Plus belle la vie" s'ils étaient écrits par elle, c'est dire si je l'aime !
Bref.
Amélie a vécu les quatre premières années de sa vie au Japon, puis jusqu'à ses sept ans en Chine. Ce sont ces trois dernières années qu'elle nous raconte. Elle nous décrit un peu le métier de son père et ses relations avec sa famille, beaucoup son cadre de vie dans le ghetto, et à la folie Elena, la petite fille italienne d'un an sa cadette qui débarque au ghetto un beau jour. On découvre, effarés, à quels genres de jeux peuvent jouer des gamins de moins de dix ans sans surveillance, mais également comment les enfants perçoivent la guerre, la politique et les comportements de leurs parents. C'est bien tourné, vraiment drôle, intéressant, mignon, et très prenant, alors même que tous les sujets présents dans ce livre me rebutaient dès le départ.
Résumé : Saviez-vous qu'un pays communiste, c'est un pays où il y a des ventilateurs ? Que de 1972 à 1975, une guerre mondiale a fait rage dans la cité-ghetto de San Li Tun, à Pékin ? Qu'un vélo est en réalité un cheval ? Que passé la puberté, tout le reste n'est qu'un épilogue ? Vous l'apprendrez et bien d'autres choses encore dans ce roman inclassable, épique et drôle, fantastique et tragique, qui nous conte aussi une histoire d'amour authentique, absolu, celui qui peut naître dans un coeur de sept ans. Un sabotage amoureux : sabotage, comme sous les sabots d'un cheval qui est un vélo...
Mon avis : J'ai décidé que j'allais lire TOUS les romans de la géniale et unique Amélie Nothomb dans l'ordre de leur parution. Le premier était "Hygiène de l'Assassin", que j'ai déjà lu et dont j'ai déjà fait la critique ici. Le deuxième était celui-ci, "Le Sabotage Amoureux". Si je ne m'étais pas lancé ce défi, je n'aurais sûrement pas lu ce roman. En effet, Amélie y raconte une partie de son enfance dans la Chine communiste. Et soyons clairs : je n'aime ni les enfants, ni la Chine, ni le communisme. C'était donc très mal parti. Mais Amélie est magique ; tout prend un sens sous sa plume. Son style est un pur bonheur : je prendrais plaisir à lire les résumés de "Plus belle la vie" s'ils étaient écrits par elle, c'est dire si je l'aime !
Bref.
Amélie a vécu les quatre premières années de sa vie au Japon, puis jusqu'à ses sept ans en Chine. Ce sont ces trois dernières années qu'elle nous raconte. Elle nous décrit un peu le métier de son père et ses relations avec sa famille, beaucoup son cadre de vie dans le ghetto, et à la folie Elena, la petite fille italienne d'un an sa cadette qui débarque au ghetto un beau jour. On découvre, effarés, à quels genres de jeux peuvent jouer des gamins de moins de dix ans sans surveillance, mais également comment les enfants perçoivent la guerre, la politique et les comportements de leurs parents. C'est bien tourné, vraiment drôle, intéressant, mignon, et très prenant, alors même que tous les sujets présents dans ce livre me rebutaient dès le départ.
Mercredi 2 juin 2010 à 15:13
Genre : Recueil de nouvelles - Policier
Résumé : Derrière chaque crime, n'y a-t-il pas toujours l'un des sept péchés capitaux ? La luxure et l'avarice sont le fil conducteur de ce recueil de vingt-trois nouvelles toutes écrites par des femmes, qu'Elizabeth George a choisies pour leur talent. A travers des intrigues plus diaboliques les unes que les autres, ces histoires, souvent drôles, parfois cruelles, pathétiques ou délicieusement perverses, montrent jusqu'où nos petites faiblesses peuvent nous mener. Si la mort n'est pas toujours au rendez-vous, la surprise, en revanche, est toujours de mise. Un pur moment de plaisir, à consommer sans modération, d'autant qu'Elizabeth George, la reine du crime en personne, a glissé l'une de ses créations parmi ces perles noires...
Mon avis : J'ai été longue à lire ce bouquin, parce qu'il était pratiquement intégralement nul à chier. Et je pèse mes mots. Je n'ai jamais lu de roman d'Elizabeth George, mais je dois reconnaître que sa nouvelle était parmi les seules potables.
Au début du bouquin, il y a une introduction écrite de sa main, où elle nous explique qu'elle a sélectionné les meilleures écrivaines pour ce livre, et où elle nous dit surtout (contrairement à la quatrième de couverture) qu'il y aura un meurtre et un semblant d'enquête dans chacune de ces nouvelles.
Sur 22 nouvelles, il y en a 13 sans meurtre, dont 2 où il y a un mort, certes, mais qu'on pourrait aussi bien trouver dans un conte pour enfants. Neuf m'ont carrément mise en colère tellement c'était pathétique, inintéressant, mal construit et sans intérêt. Seules 4 étaient bien, voire très bien pour 1 ou 2. Sur 22, ça fait très léger quand même. Heureusement qu'on m'a prêté ce livre et que je ne l'ai pas acheté, mes 22 € (tiens, comme le nombre de nouvelles) auraient vraiment été gaspillés.
Les 3 pires nouvelles du recueil : "Chocolat noir", "Invasion", et "Folie à deux".
Les 3 mieux : "A toi de jouer", "Jenny mon amour" et "Une nuit choc".
Résumé : Derrière chaque crime, n'y a-t-il pas toujours l'un des sept péchés capitaux ? La luxure et l'avarice sont le fil conducteur de ce recueil de vingt-trois nouvelles toutes écrites par des femmes, qu'Elizabeth George a choisies pour leur talent. A travers des intrigues plus diaboliques les unes que les autres, ces histoires, souvent drôles, parfois cruelles, pathétiques ou délicieusement perverses, montrent jusqu'où nos petites faiblesses peuvent nous mener. Si la mort n'est pas toujours au rendez-vous, la surprise, en revanche, est toujours de mise. Un pur moment de plaisir, à consommer sans modération, d'autant qu'Elizabeth George, la reine du crime en personne, a glissé l'une de ses créations parmi ces perles noires...
Mon avis : J'ai été longue à lire ce bouquin, parce qu'il était pratiquement intégralement nul à chier. Et je pèse mes mots. Je n'ai jamais lu de roman d'Elizabeth George, mais je dois reconnaître que sa nouvelle était parmi les seules potables.
Au début du bouquin, il y a une introduction écrite de sa main, où elle nous explique qu'elle a sélectionné les meilleures écrivaines pour ce livre, et où elle nous dit surtout (contrairement à la quatrième de couverture) qu'il y aura un meurtre et un semblant d'enquête dans chacune de ces nouvelles.
Sur 22 nouvelles, il y en a 13 sans meurtre, dont 2 où il y a un mort, certes, mais qu'on pourrait aussi bien trouver dans un conte pour enfants. Neuf m'ont carrément mise en colère tellement c'était pathétique, inintéressant, mal construit et sans intérêt. Seules 4 étaient bien, voire très bien pour 1 ou 2. Sur 22, ça fait très léger quand même. Heureusement qu'on m'a prêté ce livre et que je ne l'ai pas acheté, mes 22 € (tiens, comme le nombre de nouvelles) auraient vraiment été gaspillés.
Les 3 pires nouvelles du recueil : "Chocolat noir", "Invasion", et "Folie à deux".
Les 3 mieux : "A toi de jouer", "Jenny mon amour" et "Une nuit choc".
Vendredi 21 mai 2010 à 18:14
Genre : Roman policier - Suspense
Résumé : Sharon, agent du FBI, a convaincu les informaticiennes Grace et Annie de l'accompagner dans le Wisconsin pour tenter d'élucider un meurtre. Mais leur voiture tombe en panne au milieu des bois et elles gagnent à pied la petite ville la plus proche sans se douter qu'elles vont tomber dans un épouvantable cauchemar.
Tous les habitants ont disparu, les fils du téléphone sont coupés et d'étranges soldats assassinent sous leurs yeux un couple désarmé. Privées de téléphone portable, piégées dans une nature hostile et prises en chasse par les meurtriers, les trois jeunes femmes vont devoir conjuguer leur intelligence et leur force pour survivre...
Mon avis : Bouquin acheté complètement par hasard, couverture jolie et résumé sympa. En réalité : roman policier comme on voudrait en lire plus souvent : personnages géniaux, décors "chiadés", histoire merveilleusement bien ficelée. Le résumé ci-dessus en dit largement assez, je n'ai rien à ajouter sur l'histoire en elle-même, si ce n'est que je ne m'attendais pas à ça en lisant les premiers chapitres. Très bon polar, écrit par une mère et sa fille qui ont choisi ce pseudonyme de P.J. Tracy. Apparemment, elles n'en sont pas à leur coup d'essai, et celui-ci donne très envie d'en lire d'autres. Je vous le conseille...
Résumé : Sharon, agent du FBI, a convaincu les informaticiennes Grace et Annie de l'accompagner dans le Wisconsin pour tenter d'élucider un meurtre. Mais leur voiture tombe en panne au milieu des bois et elles gagnent à pied la petite ville la plus proche sans se douter qu'elles vont tomber dans un épouvantable cauchemar.
Tous les habitants ont disparu, les fils du téléphone sont coupés et d'étranges soldats assassinent sous leurs yeux un couple désarmé. Privées de téléphone portable, piégées dans une nature hostile et prises en chasse par les meurtriers, les trois jeunes femmes vont devoir conjuguer leur intelligence et leur force pour survivre...
Mon avis : Bouquin acheté complètement par hasard, couverture jolie et résumé sympa. En réalité : roman policier comme on voudrait en lire plus souvent : personnages géniaux, décors "chiadés", histoire merveilleusement bien ficelée. Le résumé ci-dessus en dit largement assez, je n'ai rien à ajouter sur l'histoire en elle-même, si ce n'est que je ne m'attendais pas à ça en lisant les premiers chapitres. Très bon polar, écrit par une mère et sa fille qui ont choisi ce pseudonyme de P.J. Tracy. Apparemment, elles n'en sont pas à leur coup d'essai, et celui-ci donne très envie d'en lire d'autres. Je vous le conseille...
Mercredi 19 mai 2010 à 14:20
Genre : Roman d'amour
Résumé : A vingt-cinq ans, Fanfan et Alexandre s'étaient passionnément désirés. Fou de romantisme, il avait fait à sa belle une cour sans fin, lui refusant même l'acompte d'un baiser. Leur songe rose et plein d'effroi avait tourné court... Et voilà que quinze ans après, une machination orchestrée par un éditeur et un producteur avides remet en présence le couple qui inspira le roman Fanfan, incarné au cinéma par Sophie Marceau et Vincent Perez. Mais leur météo intime est à nouveau aux antipodes. Lui rêve désormais d'un amour quotidiennement réenchanté : faire de la vie domestique, érotisée avec zèle, un tremplin vers l'éternité ; elle a des bleus au coeur et se refuse à tout engagement. Triompheront-ils du cynisme de l'époque et de la conjuration des intérêts ? Guérit-on jamais d'un premier amour ?
Mon avis : Comme dit dans l'article précédent, j'ai voué un long culte au film Fanfan dans mon adolescence, et j'ai adoré le roman original d'Alexandre Jardin lu la semaine dernière. Par curiosité, et pour continuer un peu l'aventure, je me suis décidée à lire cette suite. Mon Dieu mais qu'est-il arrivé à cet auteur incroyable qu'était Alexandre Jardin ?! Qu'est-ce qui lui a pris d'écrire une horreur pareille ? Sans entrer dans les détails tout de suite, j'ai déjà un énorme argument : sachez qu'il n'a pas écrit la suite de son roman comme on pourrait logiquement s'y attendre, mais la suite du film Fanfan, le fameux avec Sophie Marceau et Vincent Perez. En fait, imaginez que vous lisez un roman, sitôt fini, vous commencez le tome 2, mais plein de choses ne concordent pas, comme si l'auteur avait complètement oublié son premier tome.
Tome 1 : Fanfan et Alexandre se rencontrent à 20 ans, elle est réalisatrice.
Tome 2 : ils se sont rencontrés à 25 ans, elle a été nez en parfumerie, funambule, pour finalement finir créatrice de robes de mariée.
A la fin du tome 1, ils sont en train de se marier, et dans le tome 2, on nous dit qu'aucun des deux n'est venu à l'église le jour du mariage.
Voilà, ce ne sont que deux exemples, mais ce n'est que ça, tout le long du bouquin : incohérences, incohérences et encore incohérences. Evidemment, si on a lu le premier il y a dix ans, et qu'on lit le deuxième aujourd'hui, je pense que ça ne pose pas trop de problème, mais les deux à la suite, c'est franchement la honte.
Bien sûr, ç'a été très dur de faire abstraction de tout ça pendant ma lecture, mais je l'ai quand même fini, histoire de pouvoir vous confirmer que même sans ces illogismes, cette suite ne vaut rien. Les personnages sont ridicules, même nos deux héros si romantiques et touchants 15 ans avant. Quant à Faustine, mon Dieu, imaginer un personnage pareil, c'est déjà être un peu dérangé, tellement énorme que c'en est ridicule.
Bref, si vous avez aimé Fanfan (le livre et le film), vraiment, ne lisez pas cette suite, ça ne servirait qu'à ternir l'image de romantisme et de passion inébranlable que cette histoire nous avait laissée...
Résumé : A vingt-cinq ans, Fanfan et Alexandre s'étaient passionnément désirés. Fou de romantisme, il avait fait à sa belle une cour sans fin, lui refusant même l'acompte d'un baiser. Leur songe rose et plein d'effroi avait tourné court... Et voilà que quinze ans après, une machination orchestrée par un éditeur et un producteur avides remet en présence le couple qui inspira le roman Fanfan, incarné au cinéma par Sophie Marceau et Vincent Perez. Mais leur météo intime est à nouveau aux antipodes. Lui rêve désormais d'un amour quotidiennement réenchanté : faire de la vie domestique, érotisée avec zèle, un tremplin vers l'éternité ; elle a des bleus au coeur et se refuse à tout engagement. Triompheront-ils du cynisme de l'époque et de la conjuration des intérêts ? Guérit-on jamais d'un premier amour ?
Mon avis : Comme dit dans l'article précédent, j'ai voué un long culte au film Fanfan dans mon adolescence, et j'ai adoré le roman original d'Alexandre Jardin lu la semaine dernière. Par curiosité, et pour continuer un peu l'aventure, je me suis décidée à lire cette suite. Mon Dieu mais qu'est-il arrivé à cet auteur incroyable qu'était Alexandre Jardin ?! Qu'est-ce qui lui a pris d'écrire une horreur pareille ? Sans entrer dans les détails tout de suite, j'ai déjà un énorme argument : sachez qu'il n'a pas écrit la suite de son roman comme on pourrait logiquement s'y attendre, mais la suite du film Fanfan, le fameux avec Sophie Marceau et Vincent Perez. En fait, imaginez que vous lisez un roman, sitôt fini, vous commencez le tome 2, mais plein de choses ne concordent pas, comme si l'auteur avait complètement oublié son premier tome.
Tome 1 : Fanfan et Alexandre se rencontrent à 20 ans, elle est réalisatrice.
Tome 2 : ils se sont rencontrés à 25 ans, elle a été nez en parfumerie, funambule, pour finalement finir créatrice de robes de mariée.
A la fin du tome 1, ils sont en train de se marier, et dans le tome 2, on nous dit qu'aucun des deux n'est venu à l'église le jour du mariage.
Voilà, ce ne sont que deux exemples, mais ce n'est que ça, tout le long du bouquin : incohérences, incohérences et encore incohérences. Evidemment, si on a lu le premier il y a dix ans, et qu'on lit le deuxième aujourd'hui, je pense que ça ne pose pas trop de problème, mais les deux à la suite, c'est franchement la honte.
Bien sûr, ç'a été très dur de faire abstraction de tout ça pendant ma lecture, mais je l'ai quand même fini, histoire de pouvoir vous confirmer que même sans ces illogismes, cette suite ne vaut rien. Les personnages sont ridicules, même nos deux héros si romantiques et touchants 15 ans avant. Quant à Faustine, mon Dieu, imaginer un personnage pareil, c'est déjà être un peu dérangé, tellement énorme que c'en est ridicule.
Bref, si vous avez aimé Fanfan (le livre et le film), vraiment, ne lisez pas cette suite, ça ne servirait qu'à ternir l'image de romantisme et de passion inébranlable que cette histoire nous avait laissée...