Genre : Roman policier
Résumé : Une jeune et jolie blonde disparait de sa maison de Boston sans laisser de traces. Seul témoin : sa petite fille de 4 ans. Suspect N°1 : un mari trop beau et plutôt secret.
Dès qu'elle pénètre dans la villa douillette des Jones, l'inspectrice D.D. Warren sent que quelque chose cloche. Aux yeux de tous, Sandra et Jason Jones avaient tout du jeune couple amoureux. Mais de toute évidence, cette apparente normalité dissimulait des zones d'ombre redoutables.
Au fil des jours, la disparition de la jeune femme devient de plus en plus inquiétante. Pourtant Jason Jones semble plus intéressé à faire disparaître les preuves et isoler sa fille que par rechercher sa femme « chérie ». Le parfait époux essaierait-il de brouiller les pistes ou cherche-t-il simplement à se cacher ? Mais de qui ?
Mon avis : Un thriller vraiment sympa, très agréable. Le suspense est là, haletant, jusqu'à la fin. On suspecte tous les personnages les uns après les autres, et l'intrigue est très prenante. Le personnage de Jason Jones est vraiment très intéressant, mystérieux et vous réserve bien des surprises. Quant à Sandra, on ressent de multiples émotions pour elle du début à la fin : pitié, colère, déception, peine, inquiétude...
La fin est surprenante et originale. Un bouquin agréable.
Book-Emissaire
Une vie sans livres ne serait pas vivable...
Jeudi 13 octobre 2011 à 11:14
Samedi 9 octobre 2010 à 11:43
Genre : Roman d'amour - Policier
Résumé : Parce qu'elle a soif de calme et de nature, Maggie Fitzgerald a décidé de quitter Beverly Hills pour Morganville, dans le Maryland. Loin des paillettes et de l'artifice, la jeune femme sent qu'elle pourra se ressourcer et trouver dans la vieille demeure qu'elle a achetée l'inspiration dont elle a besoin pour composer ces chansons qui l'ont rendue célèbre dans le monde entier. Mais son rêve se brise soudain lorsque, à la suite de travaux, on découvre dans son jardin le cadavre de l'ancien propriétaire, William Morgan, disparu dix ans plus tôt, et dont on n'avait jamais retrouvé le corps. Aussitôt, Maggie comprend que le passé de Morganville, un passé trouble et violent, s'est invité chez elle... Déstabilisée, inquiète, elle se demande si elle ne commet pas une terrible imprudence en voulant continuer à vivre seule dans cette maison qui semble avoir été le théâtre de tragiques événements. C'est ce qu'a l air de penser Cliff, le séduisant architecte paysagiste qu'elle a engagé pour redessiner son jardin, et à qui elle aimerait pouvoir se fier. Mais cet homme qui la trouble infiniment garde un silence obstiné sur sa vie, comme si lui aussi avait quelque chose à cacher. Et Maggie frissonne en pensant que Cliff pourrait avoir un lien avec ce meurtre surgi du passé...
Mon avis : Alors alors. Par où commencer. Ce roman est présenté comme un roman policier, même la couverture, d'ailleurs, nous laisse penser que ça va faire flipper. Mais comment vous dire ?
Bon, au lieu de réfléchir, je vais faire très simple : je ne me souvenais pas avoir lu une telle merde !
Ce roman est long, niais au possible, ridicule, improbable, réellement nul à chier. L'héroïne n'a aucune personnalité, elle est gnan-gnan et ennuyeuse. Cliff est ridicule de machisme, c'est une caricature, non un personnage. Et l'histoire d'amour entre ces deux personnes est risible et tellement ridicule que c'en est pathétique.
Pour vous résumer, Maggie est la plus belle fille du monde et en plus c'est une star, elle écrit des chansons pour des artistes très connus. Elle a besoin d'un retour à la terre, alors elle achète une énorme et vieille maison à la campagne pour la rénover (parce qu'en plus d'être la plus belle du monde, elle est très riche). Pour aménager son jardin, elle embauche Cliff, qui est l'homme le plus beau du monde. Ils trouvent ensemble un cadavre dans le jardin, qui s'avère être l'ancien propriétaire de la maison. Je suppose qu'il a du y avoir une enquête de police, mais comme on ne nous en parle pas, je ne saurais pas vous en dire plus. Au final, c'est évidemment la personne de leur entourage qui paraissait la plus gentille qui est le meurtrier, et ils se marient parce qu'ils sont très amoureux, et que leur couple est le plus beau du monde. Pour preuve, à un moment, Cliff dit à Maggie qu'il voit des étoiles dans ses yeux (ou un truc dans le genre).
J'espère que mon résumé est assez explicite et ne vous donnera surtout pas envie de le lire. En plus de ça, peut-être l'aurez-vous remarqué, mais l'histoire est quasiment identique à celle de l'autre roman de Nora Roberts que j'ai lu il n'y a pas longtemps. L'autre était bien mieux, mais bon, pas assez pour me faire dire des compliments sur cette auteure qui vend, paraît-il, un bouquin toutes les cinq minutes aux USA. Mouais. Triste monde.
Résumé : Parce qu'elle a soif de calme et de nature, Maggie Fitzgerald a décidé de quitter Beverly Hills pour Morganville, dans le Maryland. Loin des paillettes et de l'artifice, la jeune femme sent qu'elle pourra se ressourcer et trouver dans la vieille demeure qu'elle a achetée l'inspiration dont elle a besoin pour composer ces chansons qui l'ont rendue célèbre dans le monde entier. Mais son rêve se brise soudain lorsque, à la suite de travaux, on découvre dans son jardin le cadavre de l'ancien propriétaire, William Morgan, disparu dix ans plus tôt, et dont on n'avait jamais retrouvé le corps. Aussitôt, Maggie comprend que le passé de Morganville, un passé trouble et violent, s'est invité chez elle... Déstabilisée, inquiète, elle se demande si elle ne commet pas une terrible imprudence en voulant continuer à vivre seule dans cette maison qui semble avoir été le théâtre de tragiques événements. C'est ce qu'a l air de penser Cliff, le séduisant architecte paysagiste qu'elle a engagé pour redessiner son jardin, et à qui elle aimerait pouvoir se fier. Mais cet homme qui la trouble infiniment garde un silence obstiné sur sa vie, comme si lui aussi avait quelque chose à cacher. Et Maggie frissonne en pensant que Cliff pourrait avoir un lien avec ce meurtre surgi du passé...
Mon avis : Alors alors. Par où commencer. Ce roman est présenté comme un roman policier, même la couverture, d'ailleurs, nous laisse penser que ça va faire flipper. Mais comment vous dire ?
Bon, au lieu de réfléchir, je vais faire très simple : je ne me souvenais pas avoir lu une telle merde !
Ce roman est long, niais au possible, ridicule, improbable, réellement nul à chier. L'héroïne n'a aucune personnalité, elle est gnan-gnan et ennuyeuse. Cliff est ridicule de machisme, c'est une caricature, non un personnage. Et l'histoire d'amour entre ces deux personnes est risible et tellement ridicule que c'en est pathétique.
Pour vous résumer, Maggie est la plus belle fille du monde et en plus c'est une star, elle écrit des chansons pour des artistes très connus. Elle a besoin d'un retour à la terre, alors elle achète une énorme et vieille maison à la campagne pour la rénover (parce qu'en plus d'être la plus belle du monde, elle est très riche). Pour aménager son jardin, elle embauche Cliff, qui est l'homme le plus beau du monde. Ils trouvent ensemble un cadavre dans le jardin, qui s'avère être l'ancien propriétaire de la maison. Je suppose qu'il a du y avoir une enquête de police, mais comme on ne nous en parle pas, je ne saurais pas vous en dire plus. Au final, c'est évidemment la personne de leur entourage qui paraissait la plus gentille qui est le meurtrier, et ils se marient parce qu'ils sont très amoureux, et que leur couple est le plus beau du monde. Pour preuve, à un moment, Cliff dit à Maggie qu'il voit des étoiles dans ses yeux (ou un truc dans le genre).
J'espère que mon résumé est assez explicite et ne vous donnera surtout pas envie de le lire. En plus de ça, peut-être l'aurez-vous remarqué, mais l'histoire est quasiment identique à celle de l'autre roman de Nora Roberts que j'ai lu il n'y a pas longtemps. L'autre était bien mieux, mais bon, pas assez pour me faire dire des compliments sur cette auteure qui vend, paraît-il, un bouquin toutes les cinq minutes aux USA. Mouais. Triste monde.
Mercredi 6 octobre 2010 à 11:12
Genre : Roman d'amour - Thriller
Résumé : D'habitude, Cilla McGowan revend toujours les propriétés qu'elle rénove. Mais cette fois-ci, il s'agit de la maison de sa grand-mère, une célèbre actrice hollywoodienne, qui s'est donné la mort il y a près de trente ans. Cilla commence la restauration avec nostalgie ; elle a d'ailleurs l'intention de s'installer dans la magnifique villa que son aïeule aimait tant... Mais lorsqu'elle découvre un paquet de lettres jaunies au fond du grenier, lorsque sa voiture, puis sa maison sont saccagées et ses proches agressés brutalement, elle comprend que dans cette petite ville paisible, certains sont prêts à tout pour protéger les secrets du passé...
Mon avis : Nora Roberts est très connue, elle vend un livre toutes les cinq minutes aux USA. Malgré cela, je ne l'avais jamais lue. Elle est présentée sur la quatrième de couverture, comme la reine des romans d'amour et des polars. Je pense qu'elle est surtout la reine d'un mélange des deux genres !
A priori, nous avons affaire ici à un polar, mais l'histoire d'amour entre Cilla et son voisin prend quand même énormément de place. J'ai bien aimé ce roman, frais, reposant et facile à la manière d'un Danielle Steel. J'y ai trouvé beaucoup de points communs avec certains romans de cette dernière, notamment la manie d'avoir toujours une héroïne qui est ou a été une star hollywoodienne. C'est un peu too much parfois, mais Nora Roberts est quand même bien moins lourde.
Parlons des vrais points positifs : j'ai adoré le contexte de la rénovation de la maison. Je suis une grande fan d'architecture intérieure et de décoration, et comme par hasard, je suis moi-même en plein dans une rénovation, donc j'ai vraiment apprécié les longues descriptions des pièces de la maison avec leur nouveau mobilier, les matières des robinets et des rideaux, les couleurs des peintures, les réunions de chantier qui n'en finissent pas, les allers et retours incessants dans les magasins de bricolage. C'est très réaliste, ni trop lourd, ni trop long, et ça change un peu. J'ai beaucoup apprécié.
J'ai également beaucoup aimé la majorité des personnages ; ils ont chacun un caractère très bien décrit et très agréable, on a l'impression de les connaître réellement.
On a vraiment envie d'être avec eux dans cette maison en travaux, de participer à la peinture, à la pose du carrelage et aux plantations des fleurs. C'est une très bonne ambiance, légère, détendue, agréable. Sauf qu'il y a un méchant !
Et ben oui, ce n'est pas qu'une histoire d'amour sur fond de rénovation de maison ! Il y a aussi un tueur, un vrai. Cette partie-là est moins bien, parce que trop convenue, trop facile. Dès le début, je me suis dit que quelque chose ne tournait pas rond avec une certaine personne dont je tairai le nom, et ça n'a pas loupé, c'est bien cette personne qui a commis le meurtre.
Ceux et celles qui, comme moi, lisent beaucoup de polars et ont l'habitude des intrigues policières, ne mettront à mon avis pas trop de temps à se douter de l'identité du tueur, ou au moins à avoir ce fameux doute sur la personne pré-citée.
Résumé : D'habitude, Cilla McGowan revend toujours les propriétés qu'elle rénove. Mais cette fois-ci, il s'agit de la maison de sa grand-mère, une célèbre actrice hollywoodienne, qui s'est donné la mort il y a près de trente ans. Cilla commence la restauration avec nostalgie ; elle a d'ailleurs l'intention de s'installer dans la magnifique villa que son aïeule aimait tant... Mais lorsqu'elle découvre un paquet de lettres jaunies au fond du grenier, lorsque sa voiture, puis sa maison sont saccagées et ses proches agressés brutalement, elle comprend que dans cette petite ville paisible, certains sont prêts à tout pour protéger les secrets du passé...
Mon avis : Nora Roberts est très connue, elle vend un livre toutes les cinq minutes aux USA. Malgré cela, je ne l'avais jamais lue. Elle est présentée sur la quatrième de couverture, comme la reine des romans d'amour et des polars. Je pense qu'elle est surtout la reine d'un mélange des deux genres !
A priori, nous avons affaire ici à un polar, mais l'histoire d'amour entre Cilla et son voisin prend quand même énormément de place. J'ai bien aimé ce roman, frais, reposant et facile à la manière d'un Danielle Steel. J'y ai trouvé beaucoup de points communs avec certains romans de cette dernière, notamment la manie d'avoir toujours une héroïne qui est ou a été une star hollywoodienne. C'est un peu too much parfois, mais Nora Roberts est quand même bien moins lourde.
Parlons des vrais points positifs : j'ai adoré le contexte de la rénovation de la maison. Je suis une grande fan d'architecture intérieure et de décoration, et comme par hasard, je suis moi-même en plein dans une rénovation, donc j'ai vraiment apprécié les longues descriptions des pièces de la maison avec leur nouveau mobilier, les matières des robinets et des rideaux, les couleurs des peintures, les réunions de chantier qui n'en finissent pas, les allers et retours incessants dans les magasins de bricolage. C'est très réaliste, ni trop lourd, ni trop long, et ça change un peu. J'ai beaucoup apprécié.
J'ai également beaucoup aimé la majorité des personnages ; ils ont chacun un caractère très bien décrit et très agréable, on a l'impression de les connaître réellement.
On a vraiment envie d'être avec eux dans cette maison en travaux, de participer à la peinture, à la pose du carrelage et aux plantations des fleurs. C'est une très bonne ambiance, légère, détendue, agréable. Sauf qu'il y a un méchant !
Et ben oui, ce n'est pas qu'une histoire d'amour sur fond de rénovation de maison ! Il y a aussi un tueur, un vrai. Cette partie-là est moins bien, parce que trop convenue, trop facile. Dès le début, je me suis dit que quelque chose ne tournait pas rond avec une certaine personne dont je tairai le nom, et ça n'a pas loupé, c'est bien cette personne qui a commis le meurtre.
Ceux et celles qui, comme moi, lisent beaucoup de polars et ont l'habitude des intrigues policières, ne mettront à mon avis pas trop de temps à se douter de l'identité du tueur, ou au moins à avoir ce fameux doute sur la personne pré-citée.